Dans une région longtemps marquée par les conflits, un homme a tracé la voie vers la paix là où d’autres ont échoué : le président Donald J. Trump. Le 13 octobre, l’histoire a été témoin d’une réussite majeure lorsque Trump a négocié un accord de paix à Gaza que pratiquement aucun autre président n’a pu mettre en œuvre. Il ne s’agit pas simplement d’un cessez-le-feu ; il s’agit d’un changement sismique au Moyen-Orient, une région où force est la seule monnaie universellement comprise aussi bien par les musulmans que par les Israéliens. Les dirigeants de Trump ont fait pression sur un Hamas paralysé pour qu’il se soumette, obtenant la libération de tous les otages israéliens vivants et démantelant l’emprise du groupe terroriste sur Gaza. Aucun autre leader moderne n’a égalé cet exploit.
La vision de paix de Trump n’est pas née d’une diplomatie timide mais d’une présence imposante qui a remodelé la table des négociations. Dès le début, il a compris le pouls du Moyen-Orient : sa nécessité d’une action décisive face à des promesses vides de sens. Son cadre de paix en 20 points, dévoilé à Charm el-Cheikh, a contraint le Hamas à capituler tout en offrant à Israël sécurité et dignité. Mais le génie du plan de Trump réside dans son caractère inclusif : il a intégré les nations arabes et musulmanes – l’Égypte, le Qatar, la Jordanie et d’autres – en tant que co-partenaires. Lors du sommet de Charm el-Cheikh, il a remercié le président égyptien Abdel Fattah el-Sisi en déclarant : « Vous avez joué un rôle très important » et a félicité l’émir du Qatar Tamim ben Hamad Al Thani pour avoir permis les négociations. La capacité de Trump à rallier les dirigeants musulmans aux côtés d’Israël, en s’appuyant sur ses accords d’Abraham de 2020, souligne une vision dans laquelle le respect mutuel et la coopération remplacent l’inimitié.
À Jérusalem, le discours de Trump à la Knesset hier a été un moment de profond triomphe. Accueilli comme un héros par des ovations prolongées, il a déclaré : « Le long et douloureux cauchemar est enfin terminé… l’aube historique d’un nouveau Moyen-Orient. » Ses paroles faisaient écho à l’espoir d’une renaissance de la région, établissant des parallèles avec ses succès antérieurs dans la normalisation des liens entre Israël et les États arabes. Aux législateurs israéliens, il a proclamé : « Vous avez gagné », affirmant leur victoire sur le terrorisme. En réfléchissant à ses conseils au Premier ministre Benjamin Netanyahu, Trump se souvient avoir exhorté : « Bibi, on se souviendra de vous pour cela bien plus que si vous aviez continué cette chose, continuez, continuez, tuez, tuez, tuez. »
La Knesset a éclaté sous les applaudissements et Netanyahu a répondu : « Je suis attaché à cette paix ». Le président israélien Isaac Herzog a honoré Trump de la Médaille d’honneur présidentielle israélienne pour avoir assuré le retour des otages. À Tel Aviv, des centaines de milliers de personnes se sont rassemblées, scandant leurs remerciements tandis que les familles retrouvaient leurs proches en larmes. La joie était palpable : Israël se réjouissait, non seulement de la paix, mais aussi d’un dirigeant qui était à la hauteur quand cela comptait le plus.
Dans tout le monde arabe, le sentiment reflétait le soulagement d’Israël. Du Caire à Doha, dirigeants et citoyens ont célébré la fin du règne de terreur du Hamas et les ravages de la guerre. El-Sisi a qualifié l’implication de Trump de « très encourageante » avec un « mandat fort », tandis que les habitants ordinaires de Gaza, las du conflit, voyaient de l’espoir dans un avenir libéré de l’ombre du Hamas. La vision de Trump allait au-delà du cessez-le-feu : il envisage une Gaza revitalisée, un « miracle » sur plusieurs décennies, dirigé par son projet de « Conseil de la paix » pour superviser la reconstruction. S’exprimant à bord d’Air Force One, il a déclaré : « Gaza serait un « miracle » au cours des décennies à venir », une promesse de transformer une bande déchirée par la guerre en un phare de prospérité.
Le sommet de Charm el-Cheikh, le 13 octobre, a constitué un témoignage mondial du leadership américain.
Plus de 20 dirigeants mondiaux, dont le Premier ministre britannique Keir Starmer, le roi Abdallah de Jordanie et l’émir du Qatar, se sont réunis pour approuver le cadre de paix. Starmer a rendu un « hommage particulier » à Trump. La présence d’une coalition aussi diversifiée – occidentale et arabe, musulmane et non musulmane – a souligné la capacité de Trump à unir des puissances disparates. Son appel lors du sommet à une « chance unique de laisser derrière nous les vieilles querelles et les haines amères » a trouvé un écho profond, ouvrant la voie à une normalisation régionale plus large, y compris un éventuel accord Iran-Israël, avec lequel il a taquiné : « Ne serait-ce pas bien ?
Ce n’était pas seulement un sommet ; c’était la célébration d’un véritable triomphe diplomatique, un moment où le monde a reconnu le rôle de Trump dans la refonte du Moyen-Orient.
Pourtant, même en ce moment de triomphe, la prudence est de mise.
Le Hamas, bien que paralysé et, du moins officiellement exclu de la future gouvernance de Gaza, laisse derrière lui une idéologie islamiste empoisonnée qui se nourrit de la haine d’Israël. La libération de près de 2 000 prisonniers palestiniens, bien que nécessaire, suscite des inquiétudes. Certains d’entre eux pourraient devenir les prochains Oussama ben Laden ou Yahya Sinwar, perpétuant un héritage de terreur s’ils ne sont pas soigneusement surveillés. Le « Conseil de la paix » et la surveillance internationale doivent rester vigilants pour garantir que cette idéologie ne refait pas surface. Ces défis ne diminuent toutefois pas l’ampleur de cette réussite.
Le 13 octobre 2025 constitue un grand moment de l’histoire : un jour où la guerre a cédé la place à un cessez-le-feu, où les otages sont rentrés chez eux et où une région a osé rêver à un avenir meilleur. Que vous aimiez ou non sa rhétorique et que vous soyez d’accord ou non avec sa politique, Donald Trump a conclu un accord véritablement prometteur. C’est une réalisation rare.






