Le sommet de l’action de l’intelligence artificielle a débuté lundi au musée du Grand Palais français. Les gouvernements de la France et de l’Inde ont co-organisé l’événement rassemblant des dirigeants et des dirigeants internationaux de géants de la technologie, notamment Openai, Google, Meta et Microsoft. Les membres des groupes académiques, artistiques et à but non lucratif seront également présents, selon le sommet.
De quoi les participants discuteront-ils? Les participants discuteront de l’intérêt public pour l’IA et les impacts que l’IA peut avoir sur le lieu de travail, l’investissement gouvernemental, l’éthique et les réglementations, selon le site Web du sommet. Le sommet de deux jours suit des sommets internationaux similaires à Londres et en Corée du Sud.
Le président de Mozilla, Mark Surman, a déclaré que les sommets internationaux antérieurs ont élaboré la nature ouverte de l’IA comme une menace pour la sécurité des utilisateurs. Il a décrit ce dernier sommet comme un nouveau regard sur la combinaison de la transparence inhérente de l’IA avec des objectifs de sécurité pour créer des produits pour freiner l’activité comme le discours de haine et le matériel d’abus sexuel en ligne. Le PDG de Google, Sundar Pichai, a parlé des progrès de son entreprise dans l’IA, l’utilisant spécifiquement pour développer des voitures autonomes et générer des cartes pour lutter contre les incendies de forêt à Los Angeles. Cette période tombera dans l’histoire comme l’âge d’or de l’innovation, a déclaré Pichai.
Le président français Emmanuel Macron a mis l’accent sur la France sur l’utilisation de l’énergie propre pour alimenter le développement de la VIE plutôt que sur la combustion de combustibles fossiles pour générer la quantité importante d’énergie nécessaire pour alimenter les centres de données. Macron a également taquiné la présidente de la Commission de l’Union européenne, Ursula von der Leyen, a dévoilé mardi la stratégie européenne de l’IA. La stratégie simplifiera les réglementations et ajoutera de la profondeur aux investissements et aux capacités informatiques, a déclaré Macron.