L’avenir du Bureau de la protection financière des consommateurs est devenu incertain après que le Sénat a approuvé le choix du président Donald Trump pour le directeur du Bureau de la gestion et du budget, Russell Vought, jeudi. Le nouveau directeur a demandé aux employés du Bureau de cesser de travailler sur les règles proposées et de cesser toutes les enquêtes dans un e-mail du samedi, selon les rapports de l’Associated Press et d’autres points de vente.
Vought a déclaré samedi que le Bureau de la protection financière des consommateurs ne prendrait pas sa prochaine série de financement autorisé par le bassin de financement non désigné de la Réserve fédérale. Le solde actuel du bureau d’un peu plus de 710 millions de dollars est plus que suffisant pour financer son travail, a-t-il écrit. Les employés ont été informés dimanche que le siège de l’agence à Washington, DC, fermerait jusqu’à la semaine prochaine, a ajouté l’Associated Press. La page d’accueil de l’agence semblait hors ligne et disait «Page introuvable» lundi soir. Vendredi, Trump Ally Elon Musk a fait allusion aux changements radicaux de l’agence en publiant «CFPB RIP» avec un emoji de cercueil.
Le président Barack Obama a créé la législation de l’agence jusqu’en 2010 comme moyen de protéger les consommateurs contre les pratiques trompeuses ou abusives sur le marché financier. L’agence est responsable de la rédaction et de l’application des codes financiers pour tenir les entreprises et les banques responsables. Certains louent l’agence pour protéger les Américains moyens de la violence financière, tandis que d’autres soutiennent que l’agence a dépassé son pouvoir grâce à la dépassement fédérale.
Comment les législateurs réagissent-ils? Plusieurs législateurs républicains ont appelé à un soutien pour le financement de la loi CFBP présentée aux deux chambres du Congrès le mois dernier par le sénateur Ted Cruz (R-Texas) et le représentant Keith Self (R-Texas). Le représentant Tom Tiffany (R-Wis.) Et le représentant Byron Donalds (R-Fla.) A décrivant l’agence comme inexplicable dans des publications distinctes sur les réseaux sociaux et a appelé à son abolition. Mais la sénatrice Elizabeth Warren (D-Mass.) A alléguait que la fin du bureau supprimerait toutes les protections contre ceux qu’elle a caractérisé comme les PDG de Wall Street trompant l’argent des consommateurs. Elle s’est engagée à lutter contre la fermeture, à la fois au Congrès et au tribunal, selon un autre poste. L’ancienne présidente de la Chambre Nancy Pelosi (D-Calif.) A fait écho aux sentiments de Warren, faisant valoir que l’agence avait rendu des milliards de dollars aux contribuables. Le démantèlement de cette agence permettrait aux prédateurs financiers d’arracher les Américains qui travaillent, a-t-elle écrit.