Captain America: Brave New World

Thibault Delacroix

Captain America: Brave New World

Classé PG-13 • théâtres

Ne vous attendez pas à voir Steve Rogers Captain America: Brave New World. Sam Wilson (Anthony Mackie), anciennement connu sous le nom de Falcon, a ramassé le bouclier de Cap, et Marvel Studios espère qu’il est le gars pour diriger une équipe mise à jour d’Avengers.

Dans ce film, Sam et son acolyte Joaquin Torres (Danny Ramirez), le nouvellement doublé Falcon, enquêtent sur un incident international qui menace le président Thaddeus Ross (Harrison Ford, prenant le relais pour le défunt William Hurt). Ross et Sam ne se sont pas vus des yeux dans le passé, mais Sam est prêt à voir si le président nouvellement élu a changé de cœur.

Il n’y a pas beaucoup de suspense dans le mystère central du film parce que Marvel a bombardé les fans de clips promotionnels de la transformation de Ross en Hulk rouge. Nous savons déjà où les choses finiront, donc les 90 minutes environ pour y arriver sont fastidieuses.

Encore plus fastidieux est la parole implacable de Sam. Ce nouveau Captain America n’est pas un supersoldier, donc ses poings ne font pas le même puissant coup de poing. Mais il peut sûrement matraquer des amis et des ennemis avec des platitudes auto-justes. Les mêmes gars qui ont écrit la série Disney + CringEworthy Le Falcon et le soldat d’hiver sont responsables du script de ce film. Les connotations politiques de gauche sont quelque peu subtiles Brave nouveau mondemais la réprimande sans humour est toujours là.

Les écrivains auraient dû passer moins de temps sur l’exposition et plus de temps sur l’histoire. Le cerveau derrière l’intrigue ne nous étonne pas avec son cerveau, et l’intrigue du film ressemble à des restes vagues liés à d’autres films Marvel.

À un moment donné, Sam se demande s’il aurait dû accepter le bouclier de Steve Roger. Il est sûr de dire que la réponse est non.