La nouvelle administration Trump a touché le sol en cours d’exécution. Les responsables des succursales exécutifs ont intensifié l’application de l’immigration. Le président a rétabli la politique de Mexico, qui refuse d’aider les organisations étrangères qui fournissent ou plaident à l’avortement. L’administration a également retiré les États-Unis de l’accord sur le climat de Paris.
Le président Trump a surtout agi par une rafale de décrets, dont plus de 20 délivrés lors de son premier jour au pouvoir. L’utilisation présidentielle des décrets a suscité d’importantes critiques au 21e siècle. Cette critique a franchi les lignes des partis. Qu’il soit républicain ou démocrate, les opposants politiques ont attaqué les décrets présidentiels avec Verve. Le président Trump a été critiqué lors de son premier mandat pour des actions exécutives telles que la réaffectation de l’argent pour construire un mur le long de la frontière sud. Le président Biden a également cherché à annuler des montants importants de la dette des prêts étudiants de cette manière. Enfin, en novembre 2014, les actions DACA et DAPA du président Obama ont obtenu un croquis moqueur de Saturday Night Live.
Certaines critiques des décrets ne proviennent que de l’opposition à la politique spécifique ou au président qui les a fait. Mais certains font une objection différente, fondée non pas dans la politique ou la partisanerie mais pour des motifs constitutionnels.
Le Snl Le croquis a souligné la critique de la critique constitutionnelle prélevée sur les décrets: qu’ils violent la séparation des pouvoirs. Notre Constitution accroche la National Lawmaking Authority au Congrès. Oui, le président signe et vetos. Mais c’est une exception soigneusement et étroitement limitée à la règle générale. Au lieu de cela, la fonction principale du président dans notre système consiste à appliquer la loi faite par le Congrès. Les décrets ressemblent au président qui contourne le Congrès en cas de purement carrément en légiférant par lui-même.
Peut-on faire une défense constitutionnelle des décrets? Oui, il y a un rôle légitime pour eux dans notre système. Dans l’article II, la Constitution constitue l’ensemble du pouvoir exécutif national du président. Pour effectuer cette tâche massive (et croissante), le président a toujours eu besoin de subordonnés au sein du pouvoir exécutif pour faire respecter les lois. Comment le président exerce-t-il le contrôle de ces officiers et maintient ainsi sa propre responsabilité de «faire attention que les lois soient fidèlement exécutées»?
Il peut certainement les licencier pour avoir mal fait leur travail ou défier ses propres ordres légitimes. Mais comment ces officiers peuvent-ils savoir ce qu’ils devraient faire et le président évaluer alors leur obéissance et leur compétence? La réponse est que le président peut donner des ordres expliquant sa compréhension de la loi fédérale, puis diriger comment il souhaite que les responsables exécutifs appliquent ces lois.
C’est l’intention initiale des décrets. Ils ne font pas une nouvelle loi. Ils permettent simplement au président de diriger l’application des statuts existants. Si vous lisez des décrets, vous remarquerez qu’ils notent et interprètent les lois et les clauses constitutionnelles que le président estime activer – même exiger – l’action que l’ordre exécutif commande.
Maintenant, le fait que les commandes peut être constitutionnel ne signifie pas chaque décret est constitutionnel. Les présidents peuvent et faire de manière grossière le pouvoir discrétionnaire qu’une loi leur donne à agir. Ils peuvent le faire pour marquer des points partisans. L’une des plus grandes annulations de prêt étudiant du président Biden, par exemple, est tombée dans cette catégorie. Il a été à juste titre giflé par la Cour suprême. Le financement du mur frontalier du président Trump reposait également sur un terrain statutaire fragile, notamment en tension avec ses propres déclarations et efforts antérieurs pour garantir de nouvelles crédits du Congrès pour le projet.
Par conséquent, nous devons juger individuellement les ordres exécutifs du président Trump. Chaque ordre doit être évalué en conséquence. Cela comprend bien sûr l’évaluation si nous pensons que la politique exercée est bonne. Cependant, nous devons également déterminer si l’ordonnance relève de la loi existante. Le président est-il, en d’autres termes, qui remplit son rôle d’exercice du pouvoir exécutif ou s’introduisant dans la sphère législative du Congrès. Si nous ne considérons pas sérieusement cette question de séparation des pouvoirs, nous sommes confrontés à la tentation de poursuivre des objectifs bénéfiques de manière préjudiciable. Une telle erreur d’omission minerait la structure constitutionnelle et jetterait ainsi les bases des menaces futures à un gouvernement limité ainsi qu’à la liberté individuelle.