Mary Reichard, hôte: Et je suis Mary Reichard. Ensuite, le livre d’histoire du monde. Cette semaine marque le 80e anniversaire de la défaite des Alliés d’Hitler pendant la Seconde Guerre mondiale. L’enthousiasme pour l’occasion a été modéré alors que la guerre avec le Japon se poursuivait.
Eicher: Paul Butler du monde a peigné à travers les émissions de radio à partir de l’époque et a trouvé quelques faits saillants à partager.
Paul Butler: Le 1er mai 1945, les services de radio du monde entier interrompent leur programmation régulière avec des nouvelles de Berlin:
MBS: Cet après-midi, le grand amiral Karl Dönitz a annoncé la mort d’Adolf Hitler.
BBC: Voici un flash d’information. La radio allemande vient d’annoncer que Hitler est mort. Je vais répéter cela. La radio allemande vient d’annoncer que Hitler est mort.
John Thompson: Nous venons d’entendre les nouvelles ici sur notre service de surveillance qu’Adolf Hitler est mort. L’annonce… a déclaré qu’Hitler avait personnellement sélectionné le grand amiral Karl Dönitz comme successeur. L’amiral est venu à la radio, a rapporté à quel point lui et la nation étaient tristes et ont dit qu’il prenait le relais, selon les souhaits de Fuhrer…
En soi, la mort d’Hitler ne garantit pas la fin de la guerre. Mais l’écriture est sur le mur. Une semaine plus tard:
BBC: (CHIMES) Il s’agit du service à domicile de la BBC. Nous interrompons les programmes pour faire l’annonce suivante.
L’Allemagne accepte la reddition inconditionnelle. Le grand amiral Karl Dönitz s’adresse au peuple allemand par radio:
Donitz: (parlant allemand) Quand je me suis adressé à la nation allemande le 1er mai … J’ai dit que ma tâche la plus importante était de sauver la vie du peuple allemand. Afin d’atteindre cet objectif, j’ai ordonné au haut commandement allemand … de signer la reddition inconditionnelle pour tous les fronts.
Il assure au peuple allemand qu’il honore les souhaits d’Hitler et sauve autant de vies que possible en ordonnant au haut commandement allemand de signer l’accord de reddition.
Le même jour, le président américain Harry Truman s’adresse au peuple américain et aux alliés américains:
Truman: C’est une heure solennelle mais glorieuse. Les drapeaux de la liberté volent dans toute l’Europe pour cette victoire, nous nous joignons à nos remerciements à la Providence qui nous a guidés et soutenus à travers les jours sombres de l’adversité, notre réjouissance est sobre et modérée par une conscience suprême du prix terrible que nous avons payé pour débarrasser le monde d’Hitler et de son mauvais groupe.
Ce prix élevé n’est pas seulement dans les munitions et l’équipement, mais sur la vie humaine. 250 000 Américains sont morts en Europe. Plus de 600 000 blessés…
Truman: N’oublions pas, mon compatriote américain, le chagrin et le chagrin qui respectent aujourd’hui dans les maisons de tant de nos voisins, voisins dont la possession la plus inutile a été rendue en sacrifice pour racheter notre liberté, nous pouvons rembourser la dette que nous devons à notre Dieu, à nos morts et à nos enfants. Ce n’est que par le travail, par dévotion incessante aux responsabilités qui nous attendent.
Le président Truman termine son discours par cette proclamation:
Truman: Il est normal que nous, en tant que nation, remercie le Dieu Tout-Puissant qui nous a renforcé et nous a donné la victoire. Maintenant, donc, moi, Harry S. Truman, président des États-Unis d’Amérique, nomme par la présente le dimanche 13 mai 1945, pour être un jour de prière. J’appelle le peuple des États-Unis, quelle que soit leur foi, à unir en offrant un remerciement joyeux à Dieu pour la victoire que nous avons gagnée, et à prier pour qu’il nous soutienne jusqu’à la fin de notre lutte actuelle et nous guide dans les voies de la paix.
À Londres, Winston Churchill rappelle à la nation britannique qu’il y a encore beaucoup à faire:
Churchill: Nous pouvons nous permettre une brève période de réjouissance, mais n’oublions pas un instant les labeurs et les efforts qui nous attendent. Le Japon, avec toute sa trahison et sa cupidité restent en désabdé les blessures qu’elle a infligées à la Grande-Bretagne, aux États-Unis et à d’autres pays et ses cruautés détestables appellent à la justice et à la rétribution, nous devons maintenant consacrer toutes nos forces et ressources à l’achèvement de nos tâches, à la maison et à l’étranger.
Le roi George VI fait écho à l’appel de Truman, parlant de l’obligation d’honorer les morts et de s’engager dans Dieu dans les jours à venir.
GEORGE: À l’heure du danger, nous avons humblement engagé notre cause dans la main de Dieu et il a été notre force et notre bouclier. Remercions-le pour ses miséricordes et, en cette heure de victoire, nous engageons et notre nouvelle tâche aux conseils de la même main forte.
Alors que la reconstruction commence en Europe, l’attention alliée passe à la fin de la guerre dans le théâtre du Pacifique. Et en un peu plus de trois mois, ils réussissent. Le Japon se rend le 15 aoûtèmeinconditionnellement, mettant fin à la guerre qui a défini une génération.
C’est le livre d’histoire du monde de cette semaine. Je suis Paul Butler.
Music Out: (V est pour la victoire)