Les procureurs de l’État de Californie ont conclu un accord de plaidoyer lundi avec deux défenseurs pro-vie chargés d’exposer la vente par Planned Parenthood des parties du corps de bébés avortés. Le président du Pro-Life Center for Medical Progress, David Daleiden, et la journaliste d’infiltration Sandra Merritt ont présenté des plaidoyers sans contestation pour une seule accusation de crime chacune d’enregistrer illégalement des conversations confidentielles. Les termes des accords de plaidoyer pour Daleiden et Merritt n’ont inclus aucune peine de prison, aucune amende, aucune probation et aucune admission d’actes répréhensibles, selon un communiqué de lundi du groupe de plaidoyer.
Daleiden et Merritt ont enregistré une série de vidéos d’infiltration qu’ils insistent pour exposer l’industrie derrière la pratique de l’avortement. La paire a capturé une vidéo qui semble montrer aux dirigeants de Planned Parenthood débattant les prix des parties du corps de bébés avortés et discutant de la façon de modifier les procédures d’avortement pour obtenir des parties du corps plus rentables. Planned Parenthood a nié tous les actes répréhensibles, mais les vidéos ont déclenché plusieurs poursuites et finalement disqualifié le groupe de recevoir un financement étatique et fédéral au Texas.
Ne vous plaidera pas à un crime de faire des crimes de Daleiden et Merritt? Après la plaidoirie, Daleiden et Merritt entreront dans une période probatoire d’un an avant que les accusations de crime incontesté ne soient réduites à des délits lors de la condamnation, expliquer l’organisme à but non lucratif juridique représentant Merritt. Les accusations contre les deux défenseurs seront finalement rejetées et supprimées, selon le communiqué du Center for Medical Progress.
La Californie a-t-elle commenté le règlement? Le procureur général de Californie, Rob Bonta, a vanté les condamnations pénales dans un communiqué mardi. Bonta a allégué que l’enregistrement des conversations privées par Daleiden et Merritt menaçait l’accès à l’avortement dans l’État. Des condamnations pénales comme celles-ci protègent le droit constitutionnel d’avoir un avortement en Californie, selon le communiqué.